Event n°1 - Soirée de bienfaisance |
Maître du jeu | Creature War
21 août 2015 |
Sorcier/e | Gabrielle McKinley « En 2015, plus de 200 personnes sont décédées ou disparues dans des circonstances étranges, et près de 500 personnes ont été blessées. Nous avons besoin de la protection de l’Initiative qui, cette année encore, a arrêté un nombre croissant de monstres malfaisants. Mais leurs victimes, et les familles ont aussi besoin de vous pour les aider à surmonter des tragédies. Plus que jamais, l’Association pour les Victimes de Créatures Démoniaques a un rôle à jouer à côté de ce que peut déjà apporter le gouvernement de la région. Grâce aux fonds récoltés ce soir, qui seront important je l’espère, l’Association pourra prendre en charge les études de jeunes orphelins ou encore payer les frais médicaux lourds des blessés. Je vous remercie une nouvelle fois d’être venu, et je compte sur votre participation généreuse. Je vous souhaite une très belle soirée, et vous invite à profiter du repas, puis du bal » Avec un dernier large sourire aimable de circonstance, Gabrielle termina son discours dans lequel elle avait stratégiquement défendu les missions de l’association, mais aussi valorisé l’action du Gouverneur. D’ailleurs, un peu plus tard dans la soirée, il était prévu une intervention de Julian qui n’allait pas se priver d’une telle occasion pour valoriser son programme politique. Si tout se passait comme l’année précédente, l’Association récolterait une somme importante… dont une partie financera en réalité les expériences menées par l’Initiative sur des démons. D’un pas assuré malgré sa longue robe de soirée noire et chic, dans laquelle elle veilla à ne pas se prendre les pieds, la grande brune quitta l’estrade où elle venait de dire son discours d’une voix posée et percutante. Elle échangea quelques mots de politesse avec plusieurs personnes, et rejoignit Julian, un peu plus loin. Elle passa une main douce dans son dos avant de rester un peu en retrait, le laissant terminer sa discussion. Elle en profita pour observer le reste de la salle comble. Tout était déjà prêt pour que les invités s’installent, et le personnel pour le service passait déjà entre les petits groupes pour proposer la première flûte de la soirée ainsi que quelques canapés. Rassurée sur l’organisation, son attention se reporta sur les personnes présentes. Elle salua d’un sourire quelques individus avant que ses yeux ne s’arrêtent quelques secondes sur une jeune femme un peu plus loin. Elle avait beau creuser dans sa mémoire, elle ne parvenait pas à la resituer. Pourtant, c’était elle qui avait défini la liste des invités, elle la connaissait parfaitement. La jeune femme devait avoir autour des vingt-cinq ans, elle semblait accompagnée par un homme qui se tenait à ses côtés. Mais ils ne paraissaient pas très proches, une relation de travail sans doute. Julian venait de finir sa conversation, la brune en profita pour s’en approcher et lui glisser quelques mots à l’oreille « Tu peux aller te renseigner sur cette fille ? Je m’occupe de Giles » Elle observa encore quelques secondes l’inconnue, très grande et très mince, pour ainsi dire anorexique. Gabrielle songea une seconde qu’il s’agissait peut-être d’une mannequin, une de ces filles amenées comme trophée par un des invités esseulés. Pourtant quelque chose dans son regard noir ne collait pas. « Monsieur Giles ! Comment allez-vous ? Je vous remercie à nouveau d’être ici pour cette soirée » Après un regard entendu et complice avec Julian, elle s’éloigna de son mari pour aller à la rencontre de l’ancien observateur. Ils avaient insisté pour le faire venir, alors elle comptait bien profiter de sa présence. Elle devait rester à proximité de l’anglais, surtout lorsque Julian prendrait la parole pour annoncer la capture de Faith Lehane. Elle pourrait alors observer l’attitude du vieil homme et peut-être même l’inviter à dire quelques mots à l’assemblée sur l’ancienne tueuse… Faith Lehane devait être condamnée à mort ; si Giles condamnait aussi publiquement la brune alors l’exécution ne serait qu’une formalité devant l’opinion publique. « Vous êtes venu accompagné ? » interrogea-t-elle avant de s’avancer pour saluer un homme d’une quarantaine d’année. D’origine afro-américaine, l’homme à côté de Giles semblait un peu perdu dans la foule et ne pas connaître beaucoup de monde. Elle se présenta avant d’attendre qu’il en fasse de même. Jeu 25 Aoû - 22:19 |
Démon | Blanche Dubois Blanche lissa les plis de sa jupe. Le vêtement lui était parvenu de New York quelques jours plus tôt et la jeune femme avait tout de suite été conquise par sa beauté. Faite d’un léger satin noir, la robe découvrait son dos pâle, dont les os fins pointaient. Les délicates broderies qui ornaient le tissu semblaient avoir été cousues à la main. Blanche considéra son image dans le miroir. La robe épousait parfaitement la maigreur de son corps. La démone sourit et songea qu’Asag en faisait toujours trop. Cette fois, cependant, elle lui en était reconnaissante. Ses occupations de mercenaire exigeaient qu’elle portât une tenue plus pratique et, bien qu’elle choisissait toujours des vêtements qu’elle appréciait, il y avait des limites à quel point elle pouvait faire preuve de coquetterie. Ce soir, dans cette luxueuse robe ébène, elle se sentait belle. Une rivière de perles reposait sur sa gorge de nacre. Elle avait soigneusement relevé sa longue chevelure brune. L’éclat sombre de son regard était rehaussé d’un trait noir plus fin que d’habitude et sa bouche carmin attirait l’œil. Un léger tintement de son téléphone l’avertit que son cavalier l’attendait en bas. Blanche se dépêcha d’enfiler une paire d’escarpins et de longs gants de dentelle noire, destinés à masquer la cicatrice laissée par Kora. La démone pinça les lèvres. Elle arrivait à voler depuis peu, mais pas longtemps, ni sans douleur. Spike lui avait conseillé de se montrer patiente et de reposer son aile blessée, mais Blanche n’avait pu s’y résoudre. Elle ne supportait pas de rester enfermée. Elle voulait défier la gravité, défier ses propres limites. Elle voulait être libre, sans attaches, ne serait-ce qu’une nuit. Après un dernier coup d’œil à son reflet, la jeune femme fourra son téléphone dans son petit sac à main et sortit de la chambre. Spike, qui était assis sur un des fauteuils du salon, un verre de whisky à la main, leva les yeux à son approche. — Comment-ce que tu me trouves? demanda Blanche, légèrement embarrassée. Le vampire la considéra un moment avant de se lever et de prendre le châle qui était posé sur le bras d’un fauteuil. Ses traits étaient tendus, mais Blanche décela une lueur de convoitise dans son regard. Elle ne put réprimer un sourire moqueur lorsque son amant l’enveloppa du châle. Elle l’embrassa longuement, lui mordillant la lèvre inférieure au passage. — Si ça sent le piège, tire-toi, l’avertit Spike après s’être dégagé. On s’en fout de l’autre, sors de là, compris? — T’inquiète pas, j’vas être prudente, promis, murmura la démone en l’embrassant de nouveau. Une exquise chaleur monta en elle alors que l’homme promenait ses mains sur son corps, froissant le tissu délicat de sa robe. Le tintement de son téléphone retentit à nouveau, et Blanche rompit le baiser à contrecœur. Le souffle court, elle lissa une dernière fois les volants de sa jupe. — J’dois y aller, s’excusa-t-elle. À plus tard…. Elle caressa du bout des doigts la joue de son amant avant de quitter l’appartement, un tourbillon de tissu noir voletant derrière elle. Debout devant l’ascenseur, elle songeait avec impatience au moment où le bal se terminerait et où elle pourrait retrouver l’homme qu’elle aimait. Une rutilante Rolls Royce noire était stationnée devant l’immeuble à logements. Anton Petrov, le dos appuyé contre le véhicule, fumait une cigarette. Lorsqu’il aperçut Blanche dévaler l’escalier et se diriger vers lui, il écrasa son mégot et se détacha de la voiture pour la rejoindre. Grand, large d’épaules, le cheveu blond coupé ras sur la tête, il avançait avec la démarche de celui qui sait qu’il est intimidant. Ils se saluèrent poliment, puis Anton fit monter la démone dans la voiture avant de s’asseoir à côté d’elle sur le siège arrière. Il donna deux coups secs sur la vitre qui les séparait du chauffeur et le véhicule démarra. L’homme sortit de la poche de son veston un élégant étui à cigarettes en argent. Il en prit un et en offrit une à la jeune femme, qui accepta. Blanche ne put s’empêcher de remarquer son accent russe très prononcé. Asag lui avait expliqué qu’Anton Petrov était un membre important de la mafia russe à New York. Le démon avait toujours eu de bonnes relations avec cette organisation et il avait proposé à l’homme d’étendre son réseau d’armes à feu à Los Angeles. Ainsi, Asag bénéficierait d’un fournisseur fiable lorsqu’il arriverait en Californie. Ce que Blanche ignorait, c’est que ce marché ne tenait qu’à condition que Petrov sût la protéger durant la soirée caritative si la nature de la démone venait à être compromise. — Êtes-vous armée? demanda Petrov. Blanche fit non de la tête. Son pistolet, aussi pratique fût-il, n’était pas assez discret pour qu’elle le porte ainsi vêtue et elle avait dû se résoudre à le laisser chez elle. L’homme cogna contre la vitre et s’adressa à son chauffeur en russe. Ce dernier abaissa la fenêtre et lui tendit un petit paquet enveloppé d’un fin tissu noir. — Tenez. J’espère cependant que vous n’aurez pas à vous en servir. Blanche prit le paquet que lui remettait Petrov et découvrit un petit revolver argenté. L’arme, de belle construction, était à peine plus grosse que le plat de sa main. La démone le remercia et releva sa jupe afin de coincer le revolver sous sa jarretelle. Elle frissonna légèrement au contact froid du métal contre sa cuisse. Petrov, qui avait détourné la tête par respect pour la pudeur de la jeune femme, attendit qu’elle eût terminé de lisser le tissu de sa robe avant de poursuivre. — Remettez-moi votre invitation. Je les présenterai toutes les deux au portier. Un seul regard direct de votre part risquerait de vous compromettre. Piquée au vif, Blanche resta coite. L’expression de l’homme était sans appel. La jeune femme éclata d’un rire de gorge. — Ça paraît tant que ça? demanda-t-elle en lui remettant son invitation. Pour toute réponse, l’homme se contenta d’esquisser un sourire crispé. Il s’adressa de nouveau au chauffeur et une douce musique emplit l’habitacle. Ils arrivèrent au Walt Disney Concert Hall un quart d’heure plus tard. Petrov sortit le premier de la voiture avant d’aider Blanche à en faire de même. La démone leva la tête afin d’observer l’immense bâtiment et trouva l’architecture discutable. L’endroit était solidement gardé par des hommes armés. — Allons-y, la pressa son compagnon. Sergei restera proche si nous devions quitter la fête plus tôt que prévu. Après avoir adressé un signe au chauffeur, l’homme la conduisit jusqu’à l’entrée. Il remit les invitations au portier avec assurance. Ce dernier, après avoir constaté qu’elles étaient en règle, les laissa entrer. Après que Blanche eût laissé son châle au vestiaire, ils se dirigèrent vers la salle où se tenait la soirée. La jeune femme fut étonnée de l’ampleur de l’événement. La salle était comble et les invités, richement vêtus, discutaient entre eux. Il lui était arrivé d’accompagner Asag lors de congrès à New York, mais ils étaient rarement aussi importants. Un serveur vint à eux et leur offrit une flûte de champagne, que Blanche déclina. Asag lui avait conseillé de refuser toute nourriture. Il ignorait quels moyens prendraient les organisateurs de la soirée pour repérer quelque présence démoniaque, mais il ne sous-estimait ni leur fourberie, ni leur cruauté. À ce moment, Gabrielle McKinley monta sur l’estrade et entama son discours. Blanche la reconnut d’après les photos que lui avait fait parvenir son patron. Grande, élégamment vêtue, la femme du gouverneur paraissait plus qu’à l’aise dans son rôle. La démone sentit une certaine hypocrisie dans ses paroles, mais celles-ci confirmaient ses soupçons : le gouverneur finançait directement les activités de l’Initiative. Les rumeurs de corruptions étaient donc fondées. Une fois son discours achevé, Blanche vit Gabrielle se diriger vers un homme. Julian McKinley. La jeune femme sentit le goût amer de la haine lui monter à la gorge. C’était lui l’instigateur de la politique « Tolérance 0 », lui qui brimait les droits de tout un chacun afin d’assurer son pouvoir. La démone croisa le regard de la femme du gouverneur et une expression d’ironie doucereuse se peignit sur son visage. Ce que ces humains cherchaient si ardemment à anéantir se trouvait parmi eux, juste sous leurs yeux. Blanche se tourna vers son compagnon et, ensemble, ils se mêlèrent à la foule. La chasse était ouverte. Lun 29 Aoû - 22:21 |
Observateur | Rupert Giles Giles se préparait pour le bal de charité, il était anxieux il devrait certainement parler à beaucoup de monde le gouverneur et sa femme lui avait bien fait comprendre qu’ils comptaient bien faire recours à lui quand il s’agissait des tueuses mais comment rester neutre même si le vieil observateur disait vouloir coopérer et tous faire pour aider la ville, l’initiative à gérer le chaos vis-à-vis du mal il ne comptait tout de même pas faire souffrir les tueuses et il ne savait pas encore se que projetait le gouverneur à ce sujet, protéger oui mais comment et à quel pris, Rien que d’y penser de grosses goutes commençait à couler sur son front il se tenait sur les deux bords du lavabo, face au miroir ne sachant que faire, il essuya sont front dégoulinant de sueur avec un mouchoir se trouvant dans la poche de son costume trois pièces loué pour l’occasion, en effet pour une fois l’observateur avait laissé de cotés le tweed pour une matière plus conventionnelle pour l’occasion. Il ôta ses lunettes et tout en se regardant face au miroir les nettoya une énième fois avant son départ, il ne voulait pas montrer à Robin et encore moins à Nicky qu’il était anxieux voir inquiet il présenter rien de bon mais il se devait d’être la, il avait donné sa parole. Puis il sortit pour voir ou en était Robin. - Alors prêt pour ce bal de charité ? en tout cas vous portez mieux le costard que moi. Essayant de faire de l’humour avant de partir. Robin élégamment habillé attendait patiemment monsieur Giles pour le bal, il profiterait d’être seul dans la voiture pour parler du sort raté de Nicky et surtout du retour à la case départ. Robin proposa de prendre sa voiture personnelle se justifiant que celui-ci en faisait déjà bien assez en les hébergeant lui et sa fille. Mais Giles se doutais bien que son vieux tacos pour se rendre au bal n’était pas de son plus bel effet. - Si vous ,voulez pourquoi pas conduisez moi à ce bal ! Apres maintes recommandations sur le fait que Nicky ne devait pas quitter cet appartement qu’ils reviendraient le plus vite possible. Elle pouffa en se jetant sur le canapé, paquet de chips à la main pour regarder un film. Les voici tout deux dans la voiture de Robin et le sujet avant d’arriver au bal était pourquoi le sort avait on échouer et comment allait il s’en sortir avec l’adolescente et surtout quand Faith le sera il serait bon de quitter la ville voir le pays, même sans pouvoir elle reste néanmoins redoutable. Plus que quelques minutes avant d’arriver les deux congénères préférait ne plus parler du tout de cette histoire afin d’essayer de se détendre avant d’affronter la foule. Un portier vérifia leurs invitations puis pris les clefs de robin pour les donner au voiturier afin qu’il aille garer le véhicule. A l’entrée tout était magnifiquement décoré et gardé, une coupe de champagne leur fut proposé mais ni l’un ni l’autre ne voulu en prendre, ils déclinèrent gentiment, pour l’instant ils voulaient garder les idées le plus clairs possible. Gabrielle était en train de faire un discours, elle avait une telle aisance en public, un tel charisme, elle tenait son rôle bien au sérieux et sa beauté ne faisait qu’augmenter la confiance qui se dégager d’elle des lors que vous croisiez son regard. Son discours fini nous regardâmes autour de nous la foule venus pendant que nous applaudissions il y avait du beau monde et si tous le monde donnait, il est pour sur que cette année encore se serait un succès. Puis Gabrielle qui avait semblait reconnaitre Giles s’avança et me salua. - Oui, comme convenu je suis la ! je vous remercie pour l’invitation et votre discours était fantastique. Se tourne vers Robin et le présente. - Oui je suis venu avec mon ami que je vous disais ce matin, celui dont je devais recevoir juste après l’entre vue avec votre mari. Il s’agit de Monsieur Wood, Robin Wood. Je pense que vu le monde déjà présent ce soir votre bal sera des plus réussis. Les mondanités effectués chacun pris sa propre route se mélangeant à la foule essayant de voir si quelques intrus ne se serait pas invités. Lun 5 Sep - 15:34 |
Hybride Loup-Garou/Sorcier | Julian McKinley Julian arriva au Wall Disney Concert Hall quelques heures après Gabrielle qui avait tout organisé de A à Z. Le gouverneur avait été trop occuper à ces affaires et à gérer l'arrivé de la nouvelle venu de l'initiative. Il se sentait plus léger, comme s'ils avaient fait un pas considérable dans leur lute contre les forces du mal et leur prise de pouvoirs. La capture de Faith avait été jugé trop facile par les membres de l'organisation jusqu'à ce qu'ils découvre que la tueuse rebelle avait elle aussi perdu ces pouvoirs, une question se répandit alors au sein du service, perdait-elle leurs pouvoirs à cause d'un rituel quelconque où, est ce que le rituel de la sorcière s’estompait avec le temps? Le gouverneur était habillé d'un costard chic de couleur bleu foncé, assortie à la magnifique robe de Gaby qui était encore plus belle qu'à son habitude, l’action lui allait si bien, ces traits était tendu mais son regard était rempli d'étoiles, comme à chaque fois qu'elle organisait de tels évènements. Quant Julian arriva dans la salle de réception quelques invités étaient déjà là, accompagné de sa femme ils montèrent alors sur la cène et le silence se fit presque aussitôt. Gabrielle fit son discourt puis ils se mêlèrent à la foule. Les banalités rasoirs débutèrent jusqu'à ce que le regard de Gabrielle croise celui d'une jeune femme trop maigre aux yeux noire de Jais. Elle demanda à son mari d'aller à sa rencontre, tenter de découvrir qui elle était, à ces mots Julian s’exécuta comme toujours pour lui faire plaisir mais aussi par accord avec elle. Il déposa un baisé discret sur sa joue, salua ces interlocuteur puis se dirigea vers la jeune femme et son accompagnateur. Après avoir croiser quelques personne de plus, il arriva devant la jeune femme, il les saluèrent avec détachement et politesse comme à son habitude avant d'entamer la discussion. - Bienvenu, merci de votre présente, Julian McKinley, leur dit-il en leurs tendant la mains attendant une présentation de leurs parts. - J'espère que la soirée vous convient, si vous avez besoin de quoi que se soit sachez que le gouvernement est à votre écoute et à votre disposition. Vous avez été invité en temps que donateur ou que bénéficiaire. Excusez moi, il y a tellement de tête que je m'y perd un peut. Il avait prit un ton un peut plus détendu, cherchant à instauré une confiance avec ces interlocuteurs. Puis remarquant leurs mains vide il leurs proposa de prendre une coupe. - Tenez, prenez donc une coupe, je vous rassure nous ne les avons pas empoisonnés. Déclara-t-il avec un large sourire qui se voulait rassurent. Je suis désoler, ça va être à moi, profitez pleinement de notre soirée. L'homme politique prit le chemin de la cène et une foi dessus il prit la parole un large sourire dessiné sur son visage. On lui avait souvent fait la remarque qu'il semblait trop froid, se soir grâce au costard bleu nuit et à son teint lumineux il espérait faire une meilleurs impression, surtout avec la bonne nouvelle qu'il avait. Il pris alors sa flûte de champagne et à l'aide d'une petite cuillère il tapa dessus afin de faire naitre le silence dans l'assemblé. - Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, mes amis! Tout d’abord merci de votre présences et de vos dons déjà très généreux en cette début de soirée. Comme vous le savez tous, nos rues ne sont pas de plus sur, mais grâce à l'Initiative tenue par monsieur Brown (il pointa Brown de la mains lui faisant un signe de tête afin de le remercier) elle sont tout de même un peut plus sur chaque jours et depuis peut elle l'est encore plus. En effet hier soir, tard dans la soirée nous avons fait une prise des plus exceptionnelles. Cela fait des mois que nous courions sans relâche après une fugitive et une meurtrière des plus dangereuse. Elle à tuer plusieurs personne au cours de sa vie, elle a fait plusieurs stage en prison mais a toujours réussi à s’évader, elle a tourner le dos depuis longtemps à son rôle de tueuse et aujourd'hui elle est enfin hors d'état de nuire, sans pouvoir et entre les barreaux très bien garder de l'initiative. Pour votre sécurité nous avons pris la décision réfléchie de lui retirer ces pouvoirs, dans quelques jours elle passera devant le tribunal de Californie, et la loi fera son travail. Nous avons fait la demande de peine capitale afin qu'elle ne fasse plus jamais de mal à personne. Julian prit un pose attendant que les applaudissement s'estompe, puis il leva la mains faisant s'allumer le grand écran dernière lui, affichant une Faith Lehane plus blanche que d'ordinaire et en uniforme de prison. Il espérait ainsi faire réagir ceux et celle qui risquait de jouer un jeu comme l'ancien observateur qu'il regarda vite fait afin de décrypté son visage tendu avant de le mettre face au fait accomplie. - Maintenant je vous laisse entre les mains de monsieur Rupert Giles qui en temps qu'observateur pourra vous en dire plus sur mademoiselle Lehane, vous exposant sa dangerosité et le bienfait de son emprisonnement. Quant l'observateur monta sur cène le gouverneur lui sera la main devant tout le monde, prenant la pose face aux média et le laissa alors seul devant les citoyens avide de savoir. Puis il se dirigea de nouveau vers sa femme, satisfait de son effet. Lun 5 Sep - 23:23 |
Vampire | Spike Reste de la ville - à l'extérieur du Wall Disney Concert Hall cacher dans le noir. Le vampire, peut-être par jalousie ou par inquiétude, avait suivie Blanche jusqu'au bal. Il savait très bien que ce n'était pas une bonne idée et que beaucoup de membres de l'initiative le reconnaitrait au premier coup d’œil. Mais il espérait pourtant pouvoir compté sur sa discrétion légendaire afin de na pas se faire remarquer. Il s'était perché sur le toit d'une des attractions du parc, de là il avait une vue imprenable sur toute les personnes qui entrait et sortait des lieux, il avait déjà reconnu Rupert et son ami de toujours, Wood, ainsi que Blanche et son accompagnateur bien entendu, mais également d'autre personnalité en vogue, mais ce qui l'étonna le plus était cette sensation étrange, comme une aura, une odeur familière, trop familière, Angélus... Il le sentait parfaitement bien, et pourtant il ne l'avait pas encore repéré. Perché sur son pied d’escale il ne manquait rien de la scène qui se jouait quelques mettre plus loin, à travers une fenêtre il voyait tout le gratin Hollywoodien et d'ailleurs, s'échanger mainte mondanité, mainte commodité. Serte il n'entendait pas ce qu'il se passait, mais les images elles, il ne pouvait pas les louper, Julian, ce gouverneur véreux, était là, sur la cène à jubilé face à une vidéo tourner de Faith. Le vampire en tomba des nues, la tueuse prise au piège de l'initiative, et d'après son visage pas d'une forme olympique, son regard fit le tour de la salle, du moins des gens qu'il pouvait entre voir, et il reconnu la colère dans les yeux de Robin Wood, et surtout la surprise de Blanche. Il ne pût s'empêcher de lui parler comme si elle était là, comme si elle pouvait l'entendre. - Tire toi amour, tire toi de là. Mais il avait beau lui en faire la demande elle ne bougeait pas, elle ne l’entendait pas. Puis soudain un bruissement d'aile le sortie de sa torpeur, en tournant la tête il vit passer non loin de lui un aigle, majestueux, aussi grand que Plume,, mais au pelage éclatant de blancheur. L'oiseau se posa à quelques mettre du vampire, comme si lui aussi regardait la scène du bal à distance, puis il fixa Spike, on aurait cru lire une pointe de moquerie dans ces yeux rouge. Le vampire secoua la tête, il devait surement halluciné, un oiseau ne se moquait pas ainsi des gens, ou des créatures de la nuit. Puis l'aigle fonça sur lui, frôlant la tête de Spike de ces crochets, puis après un demi-tour majestueux il revint à la charge, plus bas ce coup si, et en se mettant de côté, la vampire cru entendre l'oiseau parler. - La vie est un jeu vampire, vient jouer avec moi!! Spike crut devenir cinglé, était-ce lui ou l'oiseau lui avait bel et bien parler, il en perdu l'équilibre et tomba de l’attraction avec force et fracas, entendant au loin l'oiseau qui semblait rire à gorge déployer de son malheur. Sam 10 Sep - 23:03 |
Humains lambda | Robin Wood Robin était chez Giles avec Nicky Giles avait décidé d’invité Robin et celui-ci accepta sans une once d’hesitation bien curieux de voir et connaitre certaines personnes et en priorité le gouverneur, celui qui avait pour ainsi dire les pleins pouvoirs en ville il prit une douche rapide et s’apprêta d’un jolie costume blanc afin de faire ressortir son jolie teint, puis il sortit de la salle de bain laissant sa place à Giles et allant donner quelques recommandation à Nicky qui était fort simple interdiction de quitter l’appartement de Giles. Giles remarqua lui aussi comme Robin était élégant. Et lui fit un compliment. - Je vous remercie mais vous n’êtes pas mal non plus vous savez ? les costumes ça vous change du tweed. Plaisanta alors Robin. Les deux amis fin prêts se dirigent vers la porte. - Nous allons prendre ma voiture si ça ne vos dérange pas, vous nous héberger déjà Nicky et moi vous n’allez tout de même pas me servir de taxi. La vérité était que le vieux taco de Giles n’avançait pas des masse et c’était très étroit à l’intérieur, les costards sortant du pressing on n’aller pas commencer à les froisser. Il chercha ses clefs durant une dizaine de minutes puis se souvenant qu’il les avait laissé dans la salle de bains quand il avait changé de tenue pour le costard se précipita pour les récupérer. - A ce soir Nicky ! cri-t-il Aucune réponse, mais Robin pensa que les jeunes de nos jours se trouvait toujours trop couvée par leur parent il ne suspecta rien d’anormal à ça. Quelques minutes plus tard ils arrivèrent tout deux à la soirée, Giles avait l’air de connaitre ou reconnaitre plus de personne que lui ce qui était normal, il fréquenter le gouverneur d’ailleurs lui et sa ravissante femme n’était pas la en même temps seule sa femme commença à monter sur l’estrade et fit un discours des plus remarquable, son aisance et son charme lui vouait une admiration du public. Puis celle-ci s’avança vers nous quelques temps après son discours pour saluer Giles et me questionna sur mon identité. Giles le présenta et Robin sourit poliment avec une pointe de charme. - Bonjour Madame, je suis réellement enchanté de vous connaitre et comme vous a dit monsieur Giles votre discours était remarquable. Puis Gabrielle repartit jetant un œil ici et la et rejoignit son mari qui lui aussi allait faire un discours. Robin admira au début du discours l’aisance de l’orateur mais son admiration tomba bien vite quand il évoqua Faith, Robin serra les points jetant des regard noir à Giles et si Giles avait prévu tout ça, pendant une seconde ça lui traversa l’esprit puis il essaya de se reprendre et de surtout garder son calme parmi la foule, la colère et la culpabilité l’envahit et si elle mourrait comment pourrait il vivre avec cela, et tous ça serait de sa faute, la privant de ses pouvoirs il l’avait condamné, il ne pouvait pas en croire ses oreilles, « la peine capitale » cette phrase résonnait encore et encore à ses oreilles. Elle ne méritait pas ça, la justice pouffa t il quelle justice on sait tres bien que tous le monde est corrompu si le gouverneur désire cela il y avait de grande chance qu’il l’obtienne. Il regarda Giles qui n’avait pas le choix de lui aussi faire un discours et il faut dire que ce con de gouverneur influençait ce que devait à tout prix dire Giles, je sentait bien que lui aussi ne s’attendait pas du tout à ça mais comment allait-t-il s’en sortir si il nie les fait il se fait démaqué et le double jeu de Giles est terminé et si il acquiesce totalement le gouverneur et sa femme n’en seront pas plus convaincu de sa sincérité et le peuple condamnera Faith tout autant, il fallait qu’il la joue fine, au moins pour nous gagner du temps et pour qu’on puisse sauver faith et lui rendre ses pouvoirs et cela peu importe si je dois pactiser avec le diable lui-même à ce moment précis Robin qui pensait détestait Faith, s’aperçu qu’il l’aimait encore et la simple idée de la perdre lui était inconcevable. - Sauvé la Giles, sauvé la ! lui murmura-t-il quand Giles se dirigea à son tour sur l’estrade. « Mais ce que Robin et Giles ignoraient c’est que Nicky était elle aussi au gala, elle avait pris le double des clés de la voiture s’étant caché tout le long du voyage à l’arrière sous des piles de vêtements elle avait réussi à assommer une bienfaitrice et pris sa place pour s’invité aux festivités trouvant que son père l’éloignait toujours des trucs cool. Elle arriva d’ailleurs aux moments ou le gouverneur entama son discours et à la fin de celui-ci la colère montait en elle. espérons qu’elle arrive à se contrôler et ne deviennent pas une cible à son tour » Mar 13 Sep - 16:15 |
Tueuse | Faith Lehane Quelque part dans les sous-sols de Los Angeles : La lumière agressive se reflétait sur les murs blancs immaculés et l’empêchait de dormir. Elle abandonna cette idée, et se leva d’un bon de la couchette où elle s’était allongée, pour passer le temps et surtout dans l’espoir de trouver un peu de repos. Cela faisait deux jours, peut-être trois qu’elle était là. Sans fenêtre sur l’extérieur, le plafonnier allumé en permanence, elle perdait la notion du temps. Elle commença à tourner et retourner dans les quelques mètres de la pièce. Une cellule… bien plus blanche et plus aseptisée que ce qu’elle avait connu à la prison fédérale de LA, mais cela revenait au même… Au moins pendant les quelques années où elle avait purgé sa peine, elle avait partagé sa cellule avec une autre détenue, brisant l’ennui. Ici elle semblait être totalement seule, personne n’avait jamais répondu à ses appels, seuls des gardiens passaient régulièrement. Elle ne savait même pas si il y avait d’autres cellules à côté de la sienne. Elle s’arrêta, et s’étira longuement en soupirant sous la douleur de ses muscles contractés. Elle haïssait ce corps qui ne lui répondait plus comme elle l’entendait. Depuis son arrivée dans cet étrange endroit où tous les sons semblaient étouffés, à l’exception parfois d’un cri ou d’un grognement angoissant qui traversait tout le bâtiment, elle avait été l’objet à contrecœur de milles expériences. Cela avait commencé par des prises de sang, des tests d’endurance, des entretiens avec des médecins. Ils semblaient tout vouloir savoir d’elle… et ce n’était pas sans plaisir qu’elle constatait qu’ils restaient perplexes face à l’absence de ses pouvoirs. Ils l’avaient interrogés à ce sujet, elle leur avait répondu, à sa façon… toujours dans la provocation. La seule chose qu’elle n’avait pas pu cacher, c’étaient ses cicatrices : l’attaque de Buffy, mais surtout la preuve de la césarienne, et donc de l’existence de sa fille. Elle ne devait pas y penser, la sécurité de Nickie n’était pas son problème, enfin du moins le dernier de ses problèmes alors qu’elle croupissait sans ses pouvoirs de tueuse aux mains de l’Initiative. Il fallait qu’elle se sorte de là, et comme d’habitude, elle ne pouvait compter que sur elle. Elle ne pouvait plus faire confiance à qui que ce soit, Giles était la preuve qu’il était temps qu’elle range au placard ses dernières illusions. Elle n'avait rien attendre de personne. « Eh ! T’aurais pas une clope ? » Un gardien venait de s’approcher dans le couloir, elle ne pouvait pas laisser passer cette occasion de l’interpeller à travers la vitre transparente qui les séparait. Il hésita quelques secondes et s’arrêta avant d’ouvrir la porte qu’il referma avec précaution derrière lui. Depuis que la preuve avait été faite qu’elle n’avait plus ses pouvoirs, la sécurité autour d’elle s’était assoupli, ils n’avaient plus peur d’elle, elle n’avait plus rien de la tueuse rebelle qui les avait nargué pendant des mois. Elle n’était plus rien. « Tu sais que ce n’est pas autorisé de fumer ici » rappela l’homme tout en tendant une cigarette qu’il venait de sortir d’un paquet de la poche de son treillis. Son geste s’accompagna d’un regard et d’un léger sourire qu’elle ne connaissait que trop… « Il y a bien d’autres choses qui ne sont pas autorisées ici je suis sûr » Déjà elle plaqua sur son visage un sourire gourmand avant de se rapprocher de l’homme. Mais finalement elle ne chercha pas à prendre la cigarette, elle avait déjà une autre idée en tête « et je suis certaine que tu as déjà du y penser » Elle se rapprocha un peu plus jusqu’à se coller à l’homme, il ne faisait aucun doute que c’était ce qu’il recherchait, d’ailleurs il vint l’embrasser. Tout en répondant à son baiser trop brutal, déjà une main de la brune se faufilait vers les clefs que l’homme avait rangées dans la poche arrière de son pantalon après être entré. Mais elle eut à peine le temps de sentir le métal froid sous ses doigts, le gardien interrompit le baiser, saisit son poignet pour arrêter son mouvement et le serra au point qu’elle crut que ses os allaient se briser. Elle se mordit l’intérieur de la joue pour ne pas hurler de douleur « Tu t’imaginais quoi ? » L’homme se moquait d’elle, il relâcha enfin son emprise. Elle frotta son poignet douloureux de l’autre main, et après un regard haineux, elle tourna le dos à l’individu. Elle avait essayé, mais sans sa force et son agilité de tueuse, il lui semblait qu’elle n’arriverait à rien… Elle s’attendait à entendre le gardien sortir et la porte claquer. Mais une main puissante se posa sur son épaule et la força à se retourner. « Et tu crois vraiment que tu peux faire ta pute comme ça, et me laisser en plan ? Ca ne marche pas comme ça, c’est toi qui l’a demandé princesse, tu vas avoir ce que tu cherches » L’homme la gifla plusieurs fois avec violence, elle trébucha de quelques pas en arrière avant de se prendre les pieds dans le rebord de la couchette et de tomber sur cette dernière. Les yeux noisette de Faith se brouillèrent, son visage trahit sa peur. Il le vit, cela redoubla son sourire triomphant, et sans attendre, il la repoussa un peu plus sur la couchette. « S’il te plait Enix, s’il te plait.. - chuuuttt laisse toi faire - je ne veux pas, tu me fais mal, s’il te plait - Laisse toi faire, tu vas voir, tu vas aimer… et puis tu veux me faire plaisir non ? » La préadolescente esquissa un très léger hochement de tête, et cessa de repousser son frère. Alors qu’il l’envahissait à nouveau de tout son poids, et que sa respiration se faisait de plus en plus difficile, elle sentit soudain son esprit partir. Elle ne pouvait pas être là. Il s’était allongé sur elle, et d’une main remontait la simple chemise de nuit qu’ils lui avaient donnée depuis son arrivée. Sa respiration se coupa, et une sensation qu’elle avait crue à jamais disparu la saisit. C’était étrange de voir la pièce du dessus, elle paraissait presque plus grande. Et pendant une fraction de seconde, elle pensa même voir ce qui se passait dans le couloir, 4 hommes de l’Initiative se précipiter vers la cellule, l’ouvrir avant de rentrer pour dégager l’homme qui tout occupé à défaire son pantalon ne s’était même pas aperçu de l’arrivée de ses collègues. L’un des hommes, sans ménagement, le saisit et le repoussa plus loin. Elle pouvait voir son corps à demi-nue, aussi figé que celui d’une poupée de porcelaine. « Sergent, vous êtes mis aux arrêts pour tentative de viol sur une détenue. Je vous conseille de nous suivre sans discuter » Elle pouvait à nouveau respirer. Il lui fallut plusieurs secondes pour reprendre ses esprits. Alors qu’un des hommes s’approchait d’elle, pour l’aider peut-être, elle s’esquiva aussitôt et recula dans le coin du lit, tout contre l’angle des murs. Elle resta là, le regard éteint. « Bien, j’appelle le médecin de garde » Le responsable du petit groupe d’homme termina sa conversation téléphonique alors qu’il venait d’expliquer la situation, puis renvoya ses hommes. Il patienta en silence ; la brune ne bougea pas d’un millimètre. « Vous savez ce que vous avez à faire -Oui, laissez-moi faire mon travail. Elle sera prête pour le procès » Le médecin sortit de sa trousse une seringue, Faith ne chercha pas à protester lorsqu’il prit son bras pour lui faire une injonction. Quelques minutes plus tard, elle abandonna totalement, laissant le tranquillisant l’envahir et éloigner ses souvenirs. Elle n’avait plus envie de penser à quoi que ce soit, la douce torpeur qui la gagnait lui apparut alors comme le meilleur des refuges. Dim 25 Sep - 22:25 |
Invité | Invité
Dim 2 Oct - 8:40 |
Sorcier/e | Gabrielle McKinley Tout en continuant d’échanger quelques mots avec Giles et son ami, Gabrielle ne manqua pas de garder un regard sur la jeune femme brune qu’elle avait repéré un peu plus loin. Celle-ci l’intriguait, peut-être en raison de son physique hors norme et elle comptait vraiment sur Julian pour en savoir plus sur elle. Mais ce dernier ne resta pas très longtemps auprès de l’inconnue. Cela signifiait probablement qu’il n’y avait rien d’inquiétant de ce côté. Elle remercia donc l’anglais pour son compliment sur son discours et reporta son attention sur l’homme qui l’accompagnait. La petite quarantaine, d’origine afro-américaine, ses yeux sombres trahissaient son intelligence, et la franchise. C’était exactement le genre de personne qu’il ne devait pas être si compliqué de rallier à leur cause à condition de rester prudente sur la réalité de la mission de l’association et de l’Initiative. Julian interrompit leur conversation très mondaine et sans grand intérêt en réclamant le silence. Comme à chaque fois qu’elle avait l’occasion de le voir intervenir, une petite lueur d’admiration brilla dans ses yeux bleus. Elle se laissa porter par sa voix puissante et ferme, n’écoutant pas vraiment le contenu de son intervention ; elle savait déjà très bien ce qu’il allait annoncer. A mesure qu’il expliquait la capture de Faith Lehane et le futur procès, elle étudia le visage de Giles, et s’assura d’être assez proche de l’ancien observateur pour l’empêcher de bouger et de s’éloigner lorsque Julian lui passerait la parole. La surprise de Giles fut réelle, elle le sentit être déstabilisé par la demande de son mari, mais il n’avait pas le choix. Et il y avait plus intéressant : l’attitude de son ami, Robin Wood. A son visage décomposé devant l’apparition de la tueuse rebelle, il était clair qu’il connaissait la prisonnière. Alors que Giles s’avançait pour dire quelques mots, l’homme lui glissa quelques mots à l’oreille en continuant de regarder le visage de la brune qui s’affichait. Elle ne put entendre ce qu’elle disait, mais elle se rapprocha de l’afro-américain. « Elle ne parait pourtant pas si méchante. Si seulement l’Initiative se trompait sur elle, la peine de mort ne serait pas nécessaire. Heureusement la justice saura faire la part des choses » L’afro-américain juste à ses côtés, elle adopta le ton de la sollicitude pour inviter aux confidences. Elle était réellement intriguée par l’attitude de cet homme qui était sans aucun doute très proche de Faith Lehane. Connaissait-il les tueuses ? Par quelles circonstances aurait-il pu faire la connaissance de la brune ? Toute à ses questions, et à l’observation de Wood, elle remarqua à peine une gamine d’une douzaine d’année, un peu plus loin, quitter la pièce avec précipitation. Il n’y avait pas beaucoup d’enfants à la soirée, mais elle avait tenue à envoyer quelques invitations ciblées, histoire de justifier encore un peu plus l’existence de l’association et donc le besoin de dons. Ainsi quelques orphelins dont l’association payait leurs études étaient présents ; il n’y avait rien de plus efficace pour attirer la sympathie et l’argent des invités. Tandis que Giles disait quelques mots, Gabrielle remarqua un peu plus loin Brown qui lui fit un signe discret. « Julian, je crois que Brown a quelque chose à signaler » fit-elle remarquer à son mari sans pour autant s’éloigner de Wood. Elle reporta d’ailleurs aussitôt toute son attention sur lui, elle ne le lâcherait pas tant qu’elle n’en aurait pas découvert un peu plus sur lui et son lien avec leur prisonnière. Un homme habillé de noir passa à côté d’eux, elle reconnue à sa tenue le père Georges, et esquissa un léger sourire à son intention. Elle le connaissait bien, Julian faisait régulièrement appelle à lui pour justifier la lutte contre les démons, il apportait une caution religieuse. Pourtant alors que déjà le prêtre s’éloignait, une étrange sensation saisit la brune, un sentiment de familiarité qu’elle n’avait jamais ressenti vis-à-vis du religieux. Elle l’interpela, se fiant à son intuition. « Père Georges, bonjour. Je vous présente M. Wood qui vient soutenir notre cause, peut-être pourriez-vous lui parler du groupe de soutien que vous animez » Lun 3 Oct - 20:49 |
Observateur | Rupert Giles Gile décontenancé devait des lors prendre la parole, mais à ce moment précis il n’en avait vraiment ni l’envie ni le courage rien de se qui pourrait dire ne pourrait arranger la situation pour Faith et le vieil observateur pris alors une grande inspiration avant de monter sur l’estrade fit un hochement de tête à Robin en guise d’approbation essayant de lui faire comprendre qu’il essayerai d’atténuer les choses, ôtant ses lunettes et les essuyant comme un tic nerveux avant toute prise de décision importante un regard à Gabrielle puis à son mari qui semblait très satisfait de son effet il prit la parole pour faire un discours qui pour lui sera le plus difficile de sa vie. - humm humm ! Bonjour à toutes et à tous je vous remercie à mon tour pour votre présence et votre générosité car il est sur que la ville vit un tournant déplorable, il y a ici beaucoup de donateurs, mais aussi des familles de victimes, vous chercher tous des réponses et des solutions. Il n’y a pas de mauvaises ou de bonnes réponses il y a des choix, des directions à prendre il est certains que notre monde est loin de se qu’on s’imaginait et les bêtes ou monstres qu’on pensait être tout droit sorti de notre imagination sont pour la plupart bien réelle. Je ne souhaite faire peur à personne en vous disant que plus rien ne sera jamais plus comme avant car c’est une réalité mais juste posez-vous les bonnes questions sommes nous tous blanc comme neige ? Ce n’est pas si sur. Nous parlons de vie humaine, le gouverneur à raison je connais plutôt bien Mademoiselle Lehanne, une ancienne tueuse comme on vous la présenter, je dis ancienne car on vous a bien dit qu’elle ne possédait plus ses pouvoirs. Je comprends qu’on veuille la juger pour ses actes mais lui infliger la peine de mort je trouve ça de trop. Nous cherchons à stopper l’injustice et l’insécurité mais je ne suis pas sur que de tuer ne nous rendra pas nos morts, la vengeance me diriez vous ? Et vous pensez que votre deuil en passera plus vite ? Rien n’est moins sur. On dit que Faith est dangereuse et que je peux vous le confirmer. Il est vrai avec ces pouvoirs elle est dangereuse c’est une arme redoutable, on expose ici tous ces méfaits sans parler de ce qu’elle a fait de bien elle a sauver bien plus de gens qu’elle en a tués et nous sommes en guerre et pardonnez moi de vous dire que en guerre il y a parfois des dommages collatéraux. De plus elle a déjà fait de la prison de son propre chef afin de régler sa dette à la société et oui elle ne la pas purgés entièrement car le monde avait besoin de ses talents nous avions besoin de sa dangerosité. Le monde est ainsi fait quand nous avons besoin, nous nous servons et puis nous jetons mais ce ne sont pas des objets des vies, des personnes et tout comme vous des victimes de ce monde alors je fais appel à votre raison ne condamné pas par ignorance ou vengeance il existe bien des façons d’obtenir justice. Merci de m’avoir écouté. Giles descendu l’estrade se dirigeant vers Robin afin de quitter au plus vite cette soirée. Sam 15 Oct - 10:32 |
Démon | Blanche Dubois La soirée s’annonçait plutôt bien. Blanche et Anton Petrov passaient inaperçus, se mouvant à travers la foule comme si eux-mêmes avaient toujours appartenu à cet univers mondain et fortuné. Jusqu’à présent, ils avaient réussi à se renseigner sur l’identité de celui qui dirigeait l’Initiative, un grand homme noir du nom de Brooklyn Brown. Petrov avait également pris soin de consigner les noms des principaux donateurs ainsi que ceux de certains membres influents de l’organisation gouvernementale. Blanche espérait qu’Asag serait satisfait de ces informations. Elle commençait à se lasser des conversations artificielles avec tous ces gens hautains et conservateurs. Leur inimitié pour toute créature non humaine était palpable. Si la démone devait feindre de partager leur haine, elle n’en était pas moins dégoûtée des propos cruels proférés par certains. La plupart étaient hypocritement pour la ségrégation qui sévissait, prônant tantôt l’extermination de toute race démoniaque, tantôt leur utilisation à des fins scientifiques ou militaires. La jeune femme sentit qu’on tirait légèrement sur sa main. Elle se tourna vers Petrov, qui lui désigna du regard Julian McKinley. Le gouverneur se dirigeait vers eux, prenant soin de saluer au passage quelques invités et connaissances personnelles. Arrivé à leur hauteur, il les accueillit d’un ton poli et détaché. — Bienvenue, merci de votre présence. Julian McKinley, salua le gouverneur en leur tendant la main. — C’est nous qui vous remercions de l’invitation, répondit Blanche, faussement aimable, en faisant attention de maîtriser son accent cajun. Elle tendit une longue main gantée à Julian afin qu’il la serrât. Je suis Blanche Dubois et voici mon cavalier, Anton Petrov. Le Russe s’avança afin de serrer la main du gouverneur. La démone en profita pour jauger rapidement ce dernier. Grand, le maintien fier, il avait le regard du et fier de celui qui avait perdu l’habitude de voir son autorité contestée. Asag s’était certes trouvé un ennemi dangereusement à sa hauteur. Un rictus narquois étira les lèvres de la jeune femme. Le gouverneur n’avait aucune idée de ce qui l’attendait. — J’espère que la soirée vous convient, poursuivit Julian. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, sachez que le gouvernement est à votre écoute et à votre disposition. Vous avez été invités en tant que donateur ou bénéficiaire? Excusez-moi, il y a tellement de têtes que je m’y perds un peu. — Nous sommes ici en tant que bénéficiaires, répondit Petrov d’une voix mesurée, jouant le rôle que lui avait imposé Asag. Des vampires ont décimé ma famille peu après notre arrivée en Californie. Je n’ai rien pu faire. Blanche posa une main faussement réconfortante sur le bras de son cavalier, ajoutant à sa comédie. Ses talents d’acteurs étaient tels qu’il aurait pu la convaincre qu’il était réellement une victime, n’eut-elle été au courant de sa supercherie. — Tenez, prenez donc une coupe, poursuivit Julian comme s’il cherchait à alléger l’atmosphère. Je vous assure que nous ne les avons pas empoisonnées. Blanche sursauta à ces paroles, manquant presque de renverser la coupe que venait de lui offrir le gouverneur. Elle crut déceler une lueur de malice dans les yeux de l’homme alors qu’il les quittait pour prononcer son discours. — Je ne comprends pas votre succès comme mercenaire, lui murmura Petrov d’un ton réprobateur. Vous êtes aussi subtile qu’un éléphant dans une boutique de porcelaine. Blanche le gratifia d’un regard noir. Elle reporta son attention sur le gouverneur qui, grimpé sur l’estrade réclamait le silence en martelant sa coupe à l’aide d’une cuillère. La jeune femme écouta son discours d’une oreille attentive, comme si elle cherchait à en mémoriser chacun des mots. Julian leva alors les mains, et l’écran derrière lui afficha des images d’une Faith affaiblie vêtue d’un uniforme de prison. Le dégoût qui se lisait sur le visage de Blanche fit place à une surprise teintée d’inquiétude. D’ordinaire, de telles images l’auraient laissée indifférente. Cependant, il s’agissait de la tueuse qui lui avait permis de retrouver son amant. Elle devait avertir Spike. Afin de se redonner une contenance, elle but d’un trait la coupe de champagne qu’elle tenait à la main, oubliant les recommandations d’Asag. — Êtes-vous folle? lui chuchota Petrov, pâle de fureur. Je risque ma vie en vous accompagnant à cette soirée et vous, vous jouez les imprudentes! — J’dois partir, l’interrompit Blanche. — Vous n’irez nulle part, répliqua l’homme en lui saisissant fermement le bras. Vous révéleriez votre véritable nature. Vous allez vous tenir tranquille et rester sagement jusqu’à la fin de la soirée. Le patron compte sur nous. La démone se dégagea de l’emprise de Petrov, mais ne chercha pas à le contredire. Elle ne pouvait nier qu’il eût raison. Si elle se compromettait, elle serait, au mieux, abattue sur place. Un vieil homme avait pris la place du gouverneur sur l’estrade. Il semblait aussi troublé que fatigué et manquait visiblement d’assurance devant cette foule richement vêtue. Malgré son ton tendu, sa voix avait une douceur qui toucha immédiatement Blanche. La démone écouta avidement le discours de Giles, qui cherchait la nuance, le compromis, plutôt que la peine de mort. Si des humains osaient encore tenir tête au gouverneur malgré leur proximité d’avec lui, il y avait encore de l’espoir. Le vieil observateur pourrait sans doute s’avérer un allié efficace, à supposer qu’il se rangeât du côté d’Asag. Un murmure dubitatif suivit le discours de Giles. Blanche le regarda descendre rapidement de l’estrade. — J’reviens, dit-elle subitement à son cavalier. J’ai besoin d’une smoke. Elle s’éloigna de Petrov, ne lui laissant pas le temps d’objecter, et suivit à distance le vieil observateur. Ven 28 Oct - 4:27 |
Hybride Loup-Garou/Sorcier | Julian McKinley Arrivé à la hauteur de Gabrielle, cette dernière lui dit à l'oreille que son bras droit et ami, Brooklyn Brown, directeur de l'initiative avait besoin de lui parler, tout en ne perdant pas une seule miette du discourt de l'ancien observateur, Julian vint se tenir au côté de Brown lui faisant signe de la mains afin qu'il attende la fin du discourt de l'ancien pour lui parler. A la fin de ce discourt Julian était contrarié mais aussi rassuré, il n'avait donc rien perdu de son instinct, le vieux croulant était donc bel et bien toujours du côté des tueuses, ça n'avait donc jamais changer et d'un regard lancé à sa femme, il lui fit signe qu'ils avaient raison de se méfier de lui et de le tenir à l’œil. Quant on joue un double jeu il faut le jouer à tout instant, c'était ainsi que Julian et sa femme était arrivé aussi loin, ne faisant jamais de compromis et n'ayant jamais peur de se faire des ennemie redoutable, qu'ils se faisaient un malin plaisir à détruire. Puis il se tourna enfin vers son ami qui prit aussitôt la parole. - Nous avons une faille dans la sécurité, nos détecteurs de vampire ont été retrouvé mort et certain de nos agents de sécurité aussi. Nous pensons que des vampires se sont invité à la fêtes, la sécurité va être augmenté, mais vous devez partir avant que ça ne dégénère. Julian leva la tête fièrement, gardant au mieux toute sa constance devant cette révélation. - Très bien, augmenter la sécurité aussi à l'intérieur, vérifier l'identité de chaque invité et revenez me faire un rapport après. - Julian, toi et Gaby? - Nous allons rester encore quelques heures, nous sommes les organisateurs nous ne pouvons pas fuir face au danger. Si jamais ça dégénère je te confie ma femme, tu la fera sortir. - Mais... - C'est un ordre Brook. Son ton était froid et sec, il n'y avait aucune opposition possible, Julian tourna les tallons et se dirigea de nouveau vers sa femme, arrivé à sa hauteur il salua d'un signe de tête ces interlocuteurs et entraina sa femme à l'écart à qui il expliqua tout ce que son homme de main venait de lui dire. Puis après un échange de regard qui voulu en dire long, Julian retourna à ces mondanité, laissant sa compagne faire de même, à une différence, un agent de sécurité les suivaient désormais partout de quelques mettre. Ven 28 Oct - 22:35 |
Humains lambda | Robin Wood Robin toujours effaré par la vision de Faith affaibli, sa culpabilité monté en flèche voir la femme qui l’aimait dans cette situation lui était insupportable il buvait les parole de Giles espérant que ce discours pèse dans la balance pour Faith pour être honnête, Robin se foutait des conséquences que pouvait occasionner cette prise de décision sur la peine de mort, il se foutait du gouverneur, de l’initiative et de tous, seul lui importait de trouver une solution pour réparer le mauvais choix qu’avait fait lui et Giles en ôtant les pouvoirs de Faith et ainsi permettant au gouvernement à lui mettre la main dessus. Il fallait trouver un moyen de retourner la situation à notre avantage il était hors de question cela finisse ainsi, peut importe si il fallait pour cela s’allier avec le diable lui-même, Robin était prêt à tout il ne voulait pas que la mère de Nicky disparaisse pas avant longtemps, surtout que depuis que Nicky avait découvert l’identité de sa mère. Sitôt Giles fini son discours il rejoint robin qui avait comprit qu’il fallait mieux essayer de s’évader d’ici au plus vite alors Robin cherche des yeux tous ce qui ressemble de prés ou de loin à une sortie mais logiquement ce n’est pas une prison ici, il suffit de sortir comme nous sommes rentré. Giles et Robin se dirige vers une sortie afin de rentrer chez eux même si le discours de Giles est le déclencheur de leur départ il y avait aussi pour Robin le fait qu’il commencer à s’inquiéter pour sa fille et qu’il voulait la rejoindre au plus vite. Giles et lui réuni ils décidèrent de s’isoler dans un endroit moins peuplé afin d’appeler Nicky pour vérifier si tout aller bien. « Une sonnerie, puis deux, puis le répondeur » - Nicky c’est papa j’espère que tu es sagement à la maison en train de dormi et que c’est pour cela que tu ne réponds pas à mon appel , on ne va pas trop tarder je t’aime PAPA ! Nicky n’avait pas répondu car pour etre honnete elle n’était pas encore rentré chez elle et elle avait mis son téléphone sur le mode silencieux afin de ne pas se faire repéré betement au cas ou. Heureusement la foule et la peur de se faire voir par son père l’avait fait détalé assez rapidement de la fête juste assez tôt avant que Gabrielle et le gouverneur ne renforce la sécurité. Elle en profita pour s’enfuir elle fut aider par un inconnue qui la saisissant par le bras lui demanda de ne pas faire de vague, afin de rester discrete. - Si je voulais te tuer je l’aurez déjà fait mais c’est vraiment imprudent de se balader seule la nuit quand on est aussi jeune ! L’inconnu siffla un taxi et paya la course indiquant à celui-ci qu’il fallait la ramener saine et sauve à l’adresse qu’elle désire. Il fit rentrer Nicky à l’intérieur avant qu’elle ne puisse dire mot en lâchant un dernier commentaire : - On se reverra, petite on se reverra ! Il tapa sur le capot puis la voiture démarra ramenant Nicky chez Giles elle grimaça un peu récupéra la clé que Giles dissimulait à l’extérieur comment le savait-elle ben tout simplement car elle avait espionné l’observateur plusieurs fois avant, Nicky était plutôt calme mais assez espiègle. Elle fut tout de mêmes soulagé d’être rentré. Elle ferma derrière elle la porte à double tour et les camoufla dans sa chambre elle les remettra demain à leur place, elle ôta son gilet puis regarda son téléphone, un appel en absence et un message sur le répondeur de son père il y a une demi-heure. Elle décida de le rappeler afin de ne pas l’inquiéter. - Papa c’est moi ! je n’ai pas entendu ton appel je suis allé me doucher et j’ai pas vu ton appel tu rentres bientôt ? Robin et Giles faisait un tour avant de partir pour ne pas montrer à la foule et aux autres qu’il désirait partir d’ici au plus vite car sinon le discours de Giles n’aurait plus de sens puis le téléphone de Robin sonna s’était Nicky … - Oui bientôt ne t’en fais pas ! Rassuré il reprirent tous deux leur ronde se mêlant à la foule en espérant que la fête serait vite terminé cherchant une raison valable pour partir. Dim 30 Oct - 0:42 |
Maître du jeu | Creature War Dans la nuit sombre de Los Angeles, une ombre passa sur la ville. Elle passa presque inaperçue au milieu des rues désertées à cause du couvre-feu. Et puis elle survola le cimetière de Forest Lawn, et ce lieu habituellement paisible commença à s’agiter. La terre trembla puis se souleva. En moins de 15 minutes, une centaine de corps s’était extirpée de leur dernière demeure. D’un pas lent, les mouvements peu assurés mais dirigés par un même but, les cadavres ambulants se rassemblèrent et prirent la direction de la sortie du cimetière. Ironiquement le couvre-feu leur laissait toute liberté pour déambuler dans les artères vides de la capitale de la Californie. Les agents de l’Initiative étaient presque tous mobilisés au Walt Disney Concert Hall pour une soirée de bienfaisance, alors les zombies continuèrent d’avancer, lentement mais surement. Ils semblaient animés par un seul but, attirés par l’agitation qui régnait dans la salle de spectacle. Ils arrivèrent en nombre, surprenant les tueuses et les hommes armés. Sans chercher à se cacher, continuant seulement d’avancer en transformant en semblable ceux qui se trouvaient sur son chemin, ils entrèrent sans trop de difficulté dans le bâtiment puis dans la salle de réception où chacun commençait à rejoindre sa table pour débuter le repas. Lorsque les premières furent irruptions, la peur se diffusa. Chacun chercha à s'enfuir dans un mouvement de panique collective. Lun 31 Oct - 19:39 |
Sorcier/e | Gabrielle McKinley Alors que Gabrielle cherchait à prolonger la conversation avec ce Robin Wood, il s’éclipsa rapidement toujours en compagnie de Giles. Elle échangea alors quelques mots avec l’homme d’église qui était passé à côté d’elle. Mais le père Georges lui aussi semblait fuyant, il était différent de l’ordinaire, toujours prêt à s’écouter parler et à raconter et encore comment il prenait soin de sa paroisse, ce qui était souvent le comble de l’hypocrisie. Croisant de nouveaux donateurs potentiels, Gabrielle fut interrompue dans sa discussion par Julian qui l’entraîna doucement à l’écart. Cela devait être important, il n’était pas dans ses habitudes de la déranger pendant les réceptions ; chacun veillait au contraire à appuyer leurs ambitions. Lorsque son mari lui expliqua en quelques mots les inquiétudes de Brook, Gabrielle en comprit les raisons. Instinctivement, elle observa à nouveau la salle de réception. Tout semblait pourtant si calme, et à part quelques visages inconnus, tout paraissait normal. Si des vampires pensaient attaquer les lieux, quel était leur but ? La brune ne put s’empêcher de songer à Angelus… Il ne contrôlait certes pas tous les vampires de la ville, mais un grand nombre, et il serait peu probable qu’une attaque soudaine se fasse sans qu’il en soit au minimum informé. Ils ne s’éternisèrent pas longtemps, chacun repartit au milieu des invités, mais suivis maintenant d’un agent de sécurité. Gabrielle invita les participants à regagner leur place aux tables prévues pour le repas qui allait débuter. Mais alors que chacun s’installait, soudain une agitation provenant de l’extérieur parvint jusqu’à eux, puis les portes s’ouvrirent brutalement, laissant le passage à des dizaines d’hommes et de femmes en décomposition. Des zombies… La panique saisit la salle, tout le monde essayait de s’enfuir, mais les sorties semblaient envahies par ces cadavres ambulants. Gabrielle garda son sang-froid, et réfléchissait déjà à un sort qui permettrait d’éliminer les monstres. Mais elle fut bousculée plusieurs fois par des invités qui couraient à la recherche d’un abri. Elle chancela, mais une main ferme la saisit pour l’entrainer un peu plus loin. Ils arrivèrent dans une réserve avec une fenêtre. « Sors d’ici, dehors une voiture t’attend pour te ramener chez toi » Elle se dégagea de l’étreinte solide de Brook, et lança un regard décidé sur son amant. « Julian ? Où est Julian ? Retrouve le » ordonna-t-elle d’une voix qui n’admettait aucune discussion. L’homme insista pourtant, mais Gabrielle refusa tout autant. Comprenant qu’elle ne cèderait pas et qu’elle ne quitterait pas les lieux sans savoir son mari en sécurité, il finit par la quitter, en lui recommandant de barricader la porte derrière lui. Elle le fit, puis se concentra. « Julian est-ce que tu vas bien ? » Ils communiquaient régulièrement par la pensée, cela se faisait naturellement, mais pourtant là ses paroles ne reçurent aucun écho. Cela arrivait parfois lorsque l’autre ne pouvait pas se concentrer sur ses ressenties et n’était donc pas capable de percevoir le message. Elle frissonna. Un mauvais pressentiment la saisit, un froid intense. Alors contrairement à la promesse qu’elle avait fait un peu plus tôt à Brook, elle déplaça les meubles qu’elle avait disposé devant la porte, récita un sort de protection puis quitter son refuge. Les lieux étaient déjà plus silencieux, tout avait été saccagé « Julian ! » Sans cesse, elle continua d’appeler par la pensée celui qui était auprès d’elle depuis tant d’années. Mais elle restait toujours sans retour. Des traces de sang marquaient le sol. Elle les suivit sans trop savoir pourquoi, se fiant toujours à ce nœud dans l'estomac qui grandissait à mesure qu’elle avançait. Mar 1 Nov - 12:02 |
Démon | Blanche Dubois Blanche suivit du regard le vieil observateur qui rejoignait un grand homme noir élégamment vêtu. Tous deux discutaient à voix basse et semblaient nerveux. La démone dut les suivre à distance dans la foule afin de ne pas les perdre de vue. Elle ne pouvait cependant rien percevoir de leur conversation. Une vieille femme l’apostropha et complimenta sa robe. Blanche força un sourire et la remercia poliment. La vieille dut considérer cela comme une invitation et engagea la conversation, babillant à propos du chic et de la réussite de cette soirée. La démone la considéra avec impatience. Elle s’excusa abruptement, coupant court au jacassage de l’aînée, et s’éloigna vers l’extrémité de la salle, près de l’entrée. Un soupir las s’échappa de ses lèvres. Elle ne parvenait plus à repérer Giles et son acolyte. Exaspérée, Blanche décida de se rendre au vestiaire afin de récupérer son châle. Une cigarette lui donnerait sans doute l’énergie nécessaire pour supporter cette soirée jusqu’à la fin. Deux agents de l’Initiative vinrent cependant à sa rencontre. — Je vous prierais de bien vouloir regagner la salle, mademoiselle, lui demanda l’un d’eux d’un ton aimable, mais ferme. — J’en ai pas pour longtemps, répondit Blanche, une once d’impatience dans la voix. Je sors fumer et je rentre. — Personne ne sort, poursuivit l’homme. Le souper va bientôt commencer. Je vous demanderais de rejoindre les invités. — J’en ai pour cinq minutes, le temps d’une cigarette, insista la démone. — On a dit personne ne sort, répliqua l’autre d’un ton abrupt. Retournez dans la salle. Vous avez davantage besoin d’un bon repas que d’une cigarette, ajouta-t-il, insultant ostensiblement la maigreur de la jeune femme. Blanche haussa les sourcils et le considéra avec tout le mépris du monde. — Wow…. C’est vraiment riche, murmura-t-elle froidement. L’homme ne broncha pas devant le sarcasme. Blanche tourna les talons et fit ce qu’on lui demandait. Elle avait déjà suffisamment attiré l’attention sur elle et ce n’était pas le temps d’avoir des démêlés avec l’Initiative. Une fois dans la salle, elle repéra Anton Petrov et le rejoignit. — Vous en avez mis du temps, lui reprocha-t-il, agité. — Hmm…. se contenta de répondre la démone, frustrée. — Vous ne sentez pas. — Quoi? — Le tabac. Vous ne sentez pas le tabac. Vous m’aviez dit aller fumer. — Oh. J’ai pas pu. Deux imbéciles de l’Initiative m’ont abordée. Ils laissent plus sortir personne. — Ce n’est pas normal. La sécurité a visiblement été augmentée. Les organisateurs se doutent probablement de quelque chose. On ne doit pas être les seuls invités clandestins à cette soirée. Les hommes qui vous ont apostrophée ne vous suspectent pas? Que leur avez-vous dit? — J’les ai pas envoyé se faire foutre, si c’est ce que vous voulez savoir, répondit Blanche en croisant les bras sur sa poitrine. Elle vit avec surprise les traits de Petrov se détendre légèrement. — En tout cas, le manque de nicotine ne vous sied pas, à vous, la taquina-t-il, une lueur d’amusement dans le regard. — Allez vous faire foutre répliqua la jeune femme avec une esquisse de sourire. Ils échangèrent quelques informations au sujet de la soirée, puis on annonça le début du repas. Les deux agents doubles demeurèrent en retrait le temps que la masse des invités s’installât, puis rejoignirent leur table. Anton tirait galamment la chaise de Blanche afin de lui permettre de s’asseoir lorsque les portes de la salle s’ouvrirent avec fracas, laissant entrer une marée de zombies. La démone se figea, submergée d’horreur. C’étaient les mêmes créatures auxquelles Spike et elle avaient échappé de justesse deux semaines plus tôt. Les mêmes créatures avec leur odeur écœurante de mort et que seul le feu terrible semblait pouvoir vaincre. La panique emplit la salle, chacun tentant de fuir ou de se cacher devant une mort inévitable. Des coups de feu retentirent, les agents de l’Initiative essayant d’abattre les envahisseurs, mais les zombies étaient trop nombreux et se relevaient malgré les balles. Blanche, d’une pâleur morbide, ne cessait de chuchoter « le feu le feu le feu ». Petrov l’attira avec lui sous la table afin qu’ils fussent protégés des balles perdues. La jeune femme recouvra un peu de sa contenance. — L’une des fenêtres a éclaté, l’informa l’homme avec gravité. Son visage était pâle, ses traits tendus. Vous vous échapperez par l’ouverture, je vous couvrirai. — Et vous? L’homme eut un sourire sans joie. — Ça vous étonnera peut-être, mais j’ai vécu pire situation. Blanche, cependant, n’était pas convaincue. — Ne soyez pas stupide, s’emporta Petrov. Le parton me ferait bien pire que ces affreux cadavres s’il devait vous arriver quelque chose. À mon signal, vous vous envolerez vers la fenêtre. Volez jusqu’à un endroit sûr, d’accord? Blanche acquiesça et, changée en aigle, grimpa sur l’avant-bras de l’homme. Ce dernier compta jusqu’à trois avant de projeter la table et projeta l’oiseau dans les airs. La bête déploya ses ailes. Le carnage qu’elle survolait était irréel. On avait du mal à discerner qui fuyait qui, qui tirait sur qui. La nausée lui prit à la gorge. Du sang, des membres disparates, des cadavres dans fin, certains inertes, d’autres qui se mouvaient, des cris et la peur surtout, la peur terrible qui te broie les entrailles et t’étouffe, te donne un avant-goût de la mort que tu fuies, cette mort inévitable et douloureusement absurde. Il n’y a pas d’échappatoire. La démone aperçut Giles au bord de la fuite,mais retenu pourtant. Elle n’y pensa pas deux fois et se posa en hauteur. Redevenue femme, elle dégaina son petit revolver et visa. Deux zombies écopèrent d’une balle dans la tête. Ça ne les arrêterait pas, mais ça laisserait au moins quelques secondes de répit au vieil observateur et à son ami. Du moins, c’est ce qu’espérait Blanche. Elle n’eut pas le temps de s’en assurer. Une balle percuta le mur derrière elle, dangereusement près de son visage, et elle sut qu’elle avait été repérée. Sans plus attendre, elle se transforma en aigle et s’enfuit dans la nuit. La bête donna quelques coups d’aile et s’éleva au-dessus du Walt Disney Concert Hall. Elle pouvait voir des brigades de l’Initiative affluer afin de porter secours aux invités. Certains parvenaient à s’échapper à grand-peine pour se voir aussitôt dévorés par la mort. La démone s’arracha à ce spectacle horrible. Alors qu’elle levait les yeux, son regard rencontra une silhouette pâle comme un souvenir. Blanche se demanda comment une femme avait pu grimper si haut. Elle semblait une étoile, si lumineuse contre le ciel nocturne. La démone se rappelait vaguement cette chevelure blanche, cette silhouette délicate. Elle rata un battement d’ailes et manqua de tombe du ciel. L’aigle se rattrapa, évitant de justesse un panneau publicitaire, et reprit de l’altitude. Anael…. C’était impossible, son amie était morte depuis plus de vingt ans. C’était un mirage, un fantasme formulé par son esprit perturbé. L’oiseau plana un moment, laissant le vent chasser les fantômes du passé. Il lui fallait retrouver Spike, s’assurer qu’il soit sauf. La démone s’engouffra dans la chambre d’hôtel par la fenêtre ouverte. À nouveau femme, elle appela le nom de son amant. Pas de réponse. Son coeur se serra. Elle chercha frénétiquement une note, un message, n’importe quoi lui indiquant où il était sorti et qu’il rentrerait bientôt. Rien. Le souffle de la jeune femme se fit plus douloureux. Spike…. Blanche ôta sa robe de soirée et la jeta négligemment sur le lit pour enfiler une chemise à carreaux et un vieux jean qui traînait sur le sol. Elle déposa ses bijoux sur la table de chevet et but à même la bouteille de vodka qui s’y trouvait. Spike pouvait être n’importe où. Une part de la jeune femme souhaitait désespérément partir à sa recherche. Elle mourrait s’il devait lui arriver quelque chose. Elle savait toutefois que si son amant venait à rentrer et qu’il trouvait la chambre vide, il partirait impulsivement à sa recherche. Blanche resta un moment assise sur le lit, à boire et à fumer, essayant ainsi de taire son angoisse. Mer 9 Nov - 14:33 |
Observateur | Rupert Giles Giles et Robin se regardèrent et attendait le moment opportun pour pouvoir sortir de la soirée mais un mouvement de foule, de panique les sortirent de cette solution il leur fallait désormais sauver leur vie. Et bien sur si il pouvait sauver d’autres innocent par la même occasion il le ferait volontiers mais cette vague de panique semblait provenir de partout les gens se bousculait et les êtres démoniaque semblait invincibles mais plutôt lent, mais ils étaient nombreux, très nombreux. Et il semblerait que se sois des zombie des cadavres croulant attaquant es invités il fallait vite et en même temps une idée lui traversa l’esprit se serait le bon moment pour eux de libérer Faith avec ce mouvement de panique il y aurait certainement moins de gardes autour d’elle. Giles regarda Robin et lui fit signe de s’orienter vers les bureaux du haut la ou Faith serait peut être retenu. - Robin ! allons-y essayons de la sauver qu’en dis tu ? - Je suis pour et cette tragédie couvrira d’elle-même nos arrière ! Giles et Robin réussirent à s’extirper et monta à l’étage pour essayer de trouver Faith . Il ne savait pas encore ce qu’il allait trouver dans ces lieux ni comment ils allaient s’en sortir puis giles pensa à l’issu de secours disponible dans les immeubles en cas d’incendie si il trouvait faith il passerait par la en plus se serait difficile pour les zombies de passer par la ils sont beaucoup moins mobile que des êtres réellement vivant. Robin ouvrait les premier bureaux sans problème mais il n’y avait personnes mas il restait encore pas mal de portes, ils en profitaient de prendre des choses pouvant leur servir d’armes. Pendant que Giles appelait le nom de faith peut être qu’elle emmétrait un son pour qu’il la retrouve. - Faith si tu nous entends crie ou frappe quelques choses qu’on t’entend ! Maintenant il fallait se montrer patient allait-t’ils trouver faith et allaient-t’ils sortir d’ici entier et vivant ! Mar 22 Nov - 22:02 |
Maître du jeu | Creature War Quant les gens disparaissent Et le prêtre qui part juste avent l'attaque... ce n'est pas son genre pourtant. Étrange. Était-ce réellement lui? En tout cas le calme revient dans le bâtiment grâce à l'initiative et ces lance flamme, les zombie sont brûler et ramené dans l'enceinte même de l'initiative. L'inspection des lieux et le décompte des victimes va pouvoir débuter, tout le monde est prié de rentrer chez eux en passant d'abord par les entré principale ou vous attendent infirmier, médecins et psychologue afin de prendre en charge les victimes de se désastre. Nous nous excusons pour le désagrément. Fin de l'évènement code (c) crackle bones Sam 26 Nov - 1:05 |
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